Avocat Erreur Judiciaire – « L’Affaire Lempernesse »

Victimes d’erreurs judiciaire – L’Affaire Lempernesse

 

Avocat : Maître Raynaud de Lage

Défense de la Victime, Jean-Luc Lempernesse

 

Assises : Toulouse 

Année de l’émission : 2016

Reportage TV – Emission France 2

 

Résumé de l’affaire

Jean-Luc est accusé de viol accompagné d’actes de torture et de barbarie sur une ancienne petite voisine, Mélanie, âgée de sept ans au moment des faits. Selon son accusatrice, un soir d’été, la petite fille serait restée dormir chez lui alors que l’ancienne compagne de Jean-Luc s’était absentée. Durant ce temps, celui-ci aurait abusé de Mélanie dans des conditions sordides.           

Saisi de sa défense par Jean-Luc, l’Avocat pénaliste toulousain, Maître RAYNAUD de LAGE, est en alerte dès la première lecture du dossier. La peine encourue – la réclusion criminelle à perpétuité -, le temps passé – dix années se sont écoulées depuis la date des faits – font que toutes constatations matérielles sont impossibles et exposent Jean-Luc à un risque pénal majeur.

Par la suite, l’enquête, l’instruction pénale et les audiences seront rythmées par de nombreuses crises d’épilepsie de la plaignante toutes plus spectaculaires les unes aux autres. L’impact sur les divers intervenants est évident car suscitant effroi et émoi.

Le piège de l’émotion sur la raison se referme sur Jean-Luc lors du premier procès.

Il est incarcéré et tombe alors dans l’enfer de la détention où les violeurs – appelés « pointeurs » – sont sujet à toutes les brimades.

Gardant toute confiance à son Avocat malgré l’infortune judiciaire, Jean-Luc conservera intact sa combativité.

De son côté, chaque semaine, Maître RAYNAUD de LAGE rendra visite à Jean-Luc afin de préparer le procès en appel : patiemment, l’avocat pénaliste et son client reprennent point par point le dossier car de nombreuses incohérences demeurent, notamment dans les accusations de la plaignante.

Maître RAYNAUD de LAGE arrivera-t-il à prouver l’innocence de Jean-Luc ? L’Avocat pénaliste fera-t-il acquitter et laver de tout soupçon son client ?